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En partenariat avec d'autres agences de l'ONU, notamment l'OMM, la FAO et le PNUE, ainsi que plusieurs centaines de laboratoires de recherche ocanographique et en sciences de la mer, la COI joue un rle crucial pour relever les dfis majeurs auxquels les ocans du globe sont confronts. Les principaux programmes de la COI portent sur l'identification et la protection de la biodiversit marine, le suivi de la raction des ocans au changement climatique global et la coordination des risques ctiers et des systmes d'alerte rapide aux tsunamis dans le monde. Nous pouvons bien sr saluer les services que la COI a offert au cours des cinquante dernires annes, mais, l'occasion de cet anniversaire, nous avons plutt le regard tourn vers l'avenir. En effet, la COI joue aujourd'hui un rle plus important que jamais. Nous sommes de plus en plus confronts des dfis de nature globale qui ncessitent exactement le genre de plate-forme intergouvernementale offerte par la COI. Le tremblement de terre de magnitude9 du 26dcembre2004 a provoqu un tsunami dans tout l'ocan Indien, faisant plus de 200000victimes dans onze pays, dont plus de 30000 au Sri Lanka, territoire situ quelque 1600kilomtres de l'picentre en Indonsie. Contrairement l'ocan Pacifique, o la COI coordonne un centre d'alerte au tsunami depuis 1965, aucune capacit d'alerte rapide n'existait pour l'ocan Indien. En tant qu'organisation responsable des ocans affilie l'ONU, la COI a t charge de coordonner les efforts dploys l'chelle mondiale pour tablir des systmes d'alerte au tsunami dans le cadre d'une stratgie globale et multi-risques de rduction des catastrophes ctires. l'issue d'intenses et dlicates dmarches de diplomatie intergouvernementale impliquant 28pays, un systme d'alerte au tsunami pour l'ocan Indien a t mis sur pied en moins de cinq ans. Il est dsormais la proprit des tats membres. Des systmes similaires seront bientt prts pour les Carabes, la Mditerrane et l'Atlantique nord. Vue de l'extrieur, la majeure partie du travail de la COI n'a rien de passionnant. Il s'agit rarement d'actions menes sous les feux des projecteurs, mais plutt de runions et de consultations, d'accords et de sminaires. En ralit, le cur de la COI rside sa base, dans la lgion de scientifiques en mer et en laboratoire qui travaillent aux quatre coins du globe. Grce la COI, ces chercheurs sont capables de former des rseaux de coopration et de partager des ides et des ressources qui leur permettent de relever des dfis trop vastes pour n'importe quel centre de recherche, nation ou rgion. En effet, l'un des mandats fondateurs de la COI consiste en la coordination des observations globales des ocans. Les caractristiques physiques, chimiques et biologiques des ocans constituent d'importants signes vitaux de l'tat de sant de la plante. Mais pour comprendre les indications de changement, il est crucial de surveiller frquemment ces signes vitaux, de manire aussi approfondie que possible, sur des sites marins du monde entier. Ainsi, au cours des dix dernires annes seulement, la COI a aid plusieurs pays lancer quelque 3000balises Argos qui ont permis de dterminer plus de 100000profils de salinit et de temprature chaque anne, un chiffre plus de vingt fois suprieur au nombre de profils hydrographiques recueillis tous les ans par des bateaux de recherche. L'anne dernire, la COI a particip l'laboration de l'valuation des valuations, une tude qui constitue la premire tape du lancement d'une procdure rgulire d'valuation de l'tat de l'environnement marin destine obtenir une image plus holistique et intgre des ocans. En tant qu'organisation internationale, la COI compte sur le soutien constant de ses tats membres, en termes d'engagement et de financement, pour amliorer le niveau de la recherche, l'change de donnes et le dialogue sur les sujets lis aux ocans. Il est essentiel de disposer d'informations scientifiques crdibles et opportunes pour comprendre les rpercussions du changement global et pour en guider les rponses. l'heure o les conomies du monde entier restent en proie la rcession, il serait malavis de penser que la recherche ocanographique reprsente un luxe onreux. Ce 50e anniversaire doit tre l'occasion de rappeler aux tats membres pourquoi il est fondamental pour notre avenir de poursuivre et de renforcer les investissements dans le soutien de la COI.   SsjhUUh| hzH*h/hz  ( ) $a$,P|. A!"#$% X#Dd %S>  # A"""*hGMЄ! 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Nous sommes de plus en     2 eZSplus confronts des dfis de nature globale qui ncessitent exactement le genre de plate  2 eS-R2 w/Sforme intergouvernementale offerte par la COI.     2 wS  2 S A2 $SLe tremblement de terre de magnitude     2 rS 2 vS9 du 26 2 S  2 Sd2 Scembre  2 S ;2  S2004 a provoqu un tsunami dans  G2 (Stout l'ocan Indien, faisant plus de 200 2 sS 2 wS000 2 S G2 (Svictimes dans onze pays, dont plus de 30  2 S 2 S000 au F2 'SSri Lanka, territoire situ quelque 10  2 kS 2 oS600 2 S G2 (Skilomtres de l'picentre en Indonsie.  F2 'SContrairement l'ocan Pacifique, o l   [2 v5Sa COI coordonne un centre d'alerte au tsunami depuis   2 ^S1965, aucune capacit d'alerte rapide n'existait pour l'ocan Indien. En tant qu'organisation  2 XSresponsable des ocans affilie l'ONU, la COI a t charge de coordonner les efforts   +2 Sdploys l'chelle |2 KSmondiale pour tablir des systmes d'alerte au tsunami dans le cadre d'une a   22 Sstratgie globale et multi  2 S-w2 "HSrisques de rduction des catastrophes ctires. l'issue d'intenses et  q2 ,DSdlicates dmarches de diplomatie intergouvernementale impliquant 28     2 ,BS 2 ,F Spays, un syst2 ,Sme  2 >XSd'alerte au tsunami pour l'ocan Indien a t mis sur pied en moins de cinq ans. Il est    2 P\Sdsormais la proprit des tats membres. Des systmes similaires seront bientt prts pour        Y2 b4Sles Carabes, la Mditerrane et l'Atlantique nord.    2 bS  2 tS &2 SVue de l'extrieur }2 LS, la majeure partie du travail de la COI n'a rien de passionnant. Il s'agit   2 WSrarement d'actions menes sous les feux des projecteurs, mais plutt de runions et de    2 ]Sconsultations, d'accords et de sminaires. En ralit, le cur de la COI rside sa base, da     2 Sns 2 PSla lgion de scientifiques en mer et en laboratoire qui travaillent aux quatre c "2 cSoins du globe. #2 SGrce la COI,   2 Scv2 GSes chercheurs sont capables de former des rseaux de coopration et de  t2 FSpartager des ides et des ressources qui leur permettent de relever de 12 0Ss dfis trop vastes pour 2 _Sn'importe quel centre de recherche, nation ou rgion. En effet, l'un des mandats fondateurs de    2 ^Sla COI consiste en la coordination des observations globales des ocans. Les caractristiques   J2 *Sphysiques, chimiques et biologiques des oc R2 /Sans constituent d'importants signes vitaux de  2 (ZSl'tat de sant de la plante. Mais pour comprendre les indications de changement, il est   2 :VScrucial de surveiller frquemment ces signes vitaux, de manire aussi approfondie que   -SSSSRRRRRRRRRRRRQQQQQQQQQQPPPPPPPPPPPP՜.+,0 hp  Oaroviz% ' .A message from the Director-General of UNESCOQMessage du Sous-Directeur gnral et Secrtaire excutif de la Commission ocano TitreTitres  !"#$&'()*+,-.0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`abcdefghijklmnopqrstuvwxyz{|}~Root Entry F$?3Data X#1Table%7WordDocument.$SummaryInformation(/DocumentSummaryInformation8CompObjq  FDocument Microsoft Office Word MSWordDocWord.Document.89q